Mes Vérités

Mes Vérités ne sont que des pensées personnelles que je ne cherche aucunement à imposer à qui que ce soit. Cela dit, je connais moult personnes qui ont les mêmes avis !

Mise à jour le 15/05/2022  

Nous sommes dans l’univers, donc l’univers est en nous ! Patrick Édène

 

NOTRE TERRE :

 Elle est une présence significative de la puissance universelle qui contient d’innombrables combinaisons énergétiques qui en s’associant ou en se rapprochant, peuvent donner existence à des lieux cosmiques telle que notre planète !

 

Certes, des scientifiques continuent d’affirmer qu’elle est issue d’un hypothétique hasard sans prendre en compte dans leur analyse, que tout ce qui existe contient à l’évidence divers éléments compatibles entre eux qui permettent aux choses d’exister. De même les existences qui ont pour fonction de se mouvoir, de percevoir et d’agir sur leur environnement, expérimentent leurs pouvoirs de Vie par ce moyen des parties qui le constituent en étant compatibles ou complémentaires entre elles !

 

Nous pouvons poser les deux questions suivantes: Est-ce la Vie qui s’est adaptée aux conditions terrestres afin de prendre forme ou est-ce la terre elle-même qui a été conçue pour que la Vie puisse s’y concrétiser ? La Vie s’est structurée de manière extrêmement intelligente; chaque individu démontre avec certitude que tout ce qui le constitue est créé et agit avec une précision parfaite qui permet de manifester sa Vie ! Les millions d’éléments en chaque être terrestre qui travaillent ainsi de concert, dans une harmonie exemplaire, prouvent qu’une conscience intelligente orchestre ces innombrables actions et que le hasard n’y a pas sa place !

Ci dessous, un de mes poèmes que vous pouvez retrouver dans l’un de mes ouvrages à l’onglet AUTRES SUJETS, page MES LIVRES.  

Comme mes chansons, mes poèmes ont leurs droits protégés

NOTRE TERRE,

Terre qui existe depuis quatre milliards d’années ;

Sublime nature où les hommes semblent s’y damner

Et malignement ne créer que pour la condamner

À n’être plus qu’une fleur agonisante et fanée !

 

Terre ronde recouverte de mers et d’océans ;

Comme venue soudain de la lumière d’un néant

Et qui remplit tous les corps de son liquide géant

Qui s’écoule dans les vallées entre les monts béants !

 

Terre des vertes forêts qui produisent l’oxygène

Respiré depuis des siècles par tous les indigènes,

Par aussi les êtres antiques et les aborigènes,

Mais détruite par les pollueurs que je morigène !

 

Terre des animaux venus avant l’humanité,

Conscients et démontrant alors leur sensibilité,

Aimant comme chaque être vivant, vivre en liberté

Et prouvant assurément nos liens de fraternité !

 

Terre d’énergie provenant du grand creuset des astres,

Dont l’aura pure subit un véritable désastre

Par les souilleurs du monde qui détruisent le cadastre

En polluant les sols par du poison qu’ils y encastrent !

 

Terre d’accueil où l’âme stagiaire peut y paraître

  Pour continuer la grande évolution la faisant naître

Sur cette perle universelle, afin de connaître

Les vérités de l’être pour en devenir le maître !

 

     Terre d’amour prêtée par Dieu pour y vaincre nos torts !

        Héritage bien plus précieux que tous les beaux trésors

  Dont chacun de nous doit en protéger jusqu’à sa mort,

 Pour les générations futures, les faunes et flores !

 

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                DIEU :

Quelle audace voire quel orgueil pourrait-on penser, de vouloir affirmer quoi que ce soit en ce sujet si grandiose ou tant ineffable ! Et pourtant, si le créateur de l’univers existe, il est facile de le trouver dans toute la création, qu’elle soit sur terre ou dans le cosmos, étant donné qu’il ne peut y avoir d’intelligence sans conscience toutes deux déjà démontrées par la constitution des créatures terrestres !

Il n’y a pas un seul organe dans n’importe lequel des corps des individus vivant en notre monde, qui n’a pas été créé pour une fonction précise permettant la Vie. Le hasard n’est pas venu dire: « Bonjour, je vais faire en sorte que des centaines de parties corporelles vont s’adapter entre elles pour permettre à un organisme complexe et unique de manifester son existence vitale. » Et s’il l’avait dit, sage serait donc de considérer qu’à la place du hasard, ce serait une entité consciente et intelligente qui aurait prononcé de tels mots !

Même les plus acharnés en scepticisme à ce sujet ou les plus grands athées de notre monde ne peuvent nier qu’une incommensurable intelligence crée nos organismes et les fait fonctionner par une sorte de magie inexplicable en apparence !

Il est impossible de dire qu’une création et qu’une action d’une partie corporelle, ayant des relations de parfaite complémentarité avec les autres parties de ce corps, ne soient pas établies par une parfaite capacité de compréhension des conditions concernées.  Comme il est impossible de dire que le résultat obtenu n’est pas l’effet de la créativité d’une intelligence l’ayant désiré ou décidé !

Par conséquent, constatant ce pouvoir interne aux êtres vivants qui les traverse ou les pénètre de sa magnificence, nous pouvons, si nous le voulons, l’appeler Dieu. Puisque ce pouvoir suprême se trouve dans les créatures qui existent dans l’univers, il est possible de projeter sur le cosmos l’idée que cette intelligence est universellement l’autorité  créatrice ! Et ce n’est pas parce que le comportement des êtres humains en abîme souvent l’action en eux, que cela nie son évidente existence !

Ci dessous, un de mes poèmes que vous pouvez retrouver dans mon ouvrage à l’onglet AUTRES SUJETS, page MES LIVRES.  

Comme mes chansons, mes poèmes ont leurs droits protégés

GENÈSE,

Une main divine est venue sculpter le monde

 Que de leur souffle, les anges ont alors poli

 Pour faire de notre terre une forme ronde

Tournant sur elle-même, comme une poulie !

 

Tel un diamant sacré dans la paume de Dieu,

Notre boule céleste a été déposée,

Entourée d’air et de tendresse, en son beau lieu,

Et d’un geste délicat y fut arrosée !

 

Alors la mer jaillit et la vie apparut,

Inconsciente d’elle-même et partout vibrante,

 Gagnant avec force son dû mais en mourut

À chaque fois que le temps réclama sa rente !

 

Ainsi aux moindres endroits de tous les pays,

 L’évolution se fit pour comprendre la cause

 Qui engendre les malheurs qui sont tant haïs.

 Et des sages sont nés par leur métamorphose !

 

Si vous en rencontrez un non loin de chez vous,

Écoutez ses paroles, suivez ses conseils,

Car si vous ne le faites pas, vous êtes fou

Ou vous êtes ignorant, ce qui est pareil !

 

Car quelle personne préservant sa raison,

 Voudrait garder son ignorance et sa folie

Qui sont, pour son esprit, des ignobles poisons

Et au jugement de Dieu, pour soi un délit ?

 

Une main divine sculpta aussi nos corps

Avec l’outil béni que les anges ont porté,

Pour que la conscience apprenne à vaincre la mort

Dans l’espace et le temps formés d’éternité !

 

Tout fut fait simultanément comme toujours :

Tourbillons d’énergie, lumières et matières,

Et le monde où alternent les nuits et les jours

Qui ne sont, entre eux, que de trompeuses frontières !

 

C’est ainsi qu’apparurent les pluralités

Pour distinguer chaque élément de l’Absolu,

Et de même les individualités

Auxquelles le trésor de Dieu est dévolu !

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      LES SONS :

Ils sont reconnus, notamment par la science humaine, être des vibrations d’énergie qui, en venant frapper les tympans des créatures qui en sont équipées, ou pénétrer le sens qu’est le radar de certains animaux, provoquent une sensation classifiée comme étant sonore.

Il est notoire que leur vitesse de propagation dans l’espace est nettement plus lente que celle de la lumière. Il est reconnu aussi que certains d’entre-eux sont de vitesse ou de fréquence vibratoire trop rapide pour pouvoir être perçus par l’oreille humaine qui ne les capte alors pas tels les ultras-sons.

Nous avons donc conscience que les sons ont la qualité de vibrations énergétiques de fréquences particulières les rendant perceptibles et que dès qu’ils sont de fréquences trop élevées, ce ne sont donc plus des sons pour nous. D’ailleurs, dès que ces vibrations augmentent beaucoup et suffisamment, elles deviennent de la lumière ! Ainsi, nous comprenons que dans l’univers circulent des  énergies vibratoires que nous appelons des sons, lorsque celles-ci sont recevables par notre sens de l’ouïe;  si nous imaginons que d’autres organes encore plus affinés peuvent entendre des vibrations d’énergie de fréquence nettement plus élevée, nous pouvons comprendre qu’ils perçoivent alors des sons cosmiques que nous pourrions appeler la musique céleste ou la musique des sphères !

Ces explications nous éclairent les idées et mettent en exergue que nous attribuons une qualité à l’énergie universelle selon notre perception de celle-ci par divers instruments que nous possédons, autrement dit nos sens. Les vibrations que nous ne pouvons entendre peuvent devenir, par exemple, quand elles sont très élevées, les images que nous percevons par les différentes vibrations de la lumière et notre sens visuel. Nous pouvons ainsi concevoir que nous pouvons appeler les multiples vibrations cosmiques incluant celles manifestées sur notre terre:  du bruit et de la musique ou de la lumière et des images ou des odeurs et des parfums par exemple selon le sens que nous voulons employer pour cette interprétation. L’univers contient donc d’innombrables sons, odeurs et images si nous voulons bien les interpréter mentalement en tant que réalité sensorielle. Appelons cela de la transposition réaliste ou de l’imagination ou de la poésie !

Ci dessous, un de mes poèmes que vous pouvez retrouver dans mon ouvrage à l’onglet AUTRES SUJETS, page MES IVRES.  

Comme mes chansons, mes poèmes ont leurs droits protégés

LA MUSIQUE,

La musique est le vibrant chant de l’univers,

 L’harmonie sonore de toutes les lumières !

 

 Ses notes sortent comme des colliers de perles,

D’une contrebasse ou de la gorge d’un merle

 Et glisse, forte ou suave, jusqu’aux oreilles

 Créées avant tout pour entendre ses merveilles !

 

Son corps est aussi dans les mots et dans les voix,

 Dans les bravos, dans les cris d’espoir et les joies ;

 Dans les bruits du vent et les souffles des tempêtes,

Ainsi que dans les nombreux langages des bêtes.

 

Elle s’entend même dans les pleurs des amours

Et dans tous les murmures des levers du jour ;

Comme dans les gémissements et les soupirs,

 Dans les sifflements secrets de l’air qu’on respire.

 

Elle est, de tous les mondes, la tendre parole,

        Les grands discours des soleils et de leurs corolles,

             La conversation des innombrables étoiles

Et le baume des cœurs, qui enlève leur voile !

                                              

De toutes parts jaillissent sa magnificence

Et la force naturelle de son essence :

De l’infini cosmique, de toute chanson,

Des clochers, du sifflement joyeux d’un maçon,

Des mers ou des océans comme d’un moineau,

 D’une guitare, d’un violon ou d’un piano.

 

Et chacun, selon ce qu’il ressent, s’en réjouit

 Quand le chanteur la fait soudain sortir de lui,

 Que le compositeur enfin lui obéit

Et que, par sa beauté, les miséreux sourient !

 

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